L'univers musical de la jeune harpiste de 25 ans est riche : d'abord jazz, mais aussi folk, électro... Un premier disque brillant qui met en musique la poésie d'Oscar Wilde, Shakespeare, James Joyce avec le même goût du pari l'a conduit à ré-imaginer son instrument.

"J'ai ressenti le besoin de concevoir cet autoportrait à la manière d'un peintre plus que d'un photographe, de me plonger dans un minutieux travail de détail, coup de pinceau après coup de pinceau." Sur scène, avec laura, un ange passe.

After au Tinel club avec Les Chats Badins orchestre 100% swing jusqu'à 1h. Après leur succès au Déjeuner sur l'herbe cet été à Suze-la-Rousse, ils reviennent mais cette fois au château de Grignan pour une prestation musicale.

Lauréats Jazz en Drôme 2015.

Composé de Caroline Casadesus (soprano) et de ses deux fils Thomas et David Enhco (piano-violon-trompette), le trio fait éclater les frontières entre les genres, en explorant aussi bien le grand répertoire classique que les standards du jazz, en passant d'Haendel à Bizet ou encore de Purcell à Miles Davis...

"Sur scène, Caroline Casadesus forme avec ses deux fils un trio jubilatoire qui pratique la musique en hors-la-loi !" Marie-Aude Roux - Le Monde.

After au Tinel club jusqu'à 1h.

Franco-Ethiopien, DJ Sir Sway (Monsieur balancement en français) est passionné de musique depuis tout petit. Tour à tour musicien, chanteur, organisateur d'évènements musicaux, c'est en 2007 qu'il se tourne vers les musiques noires afro-américaines et plus particulièrement le jazz/swing des années folles. Il crée alors le collectif d'artistes Bebop-Swing et le site Internet electro-swing.com.

En 2012, il commence sa carrière en temps que DJ et part en tournée en Colombie, d'où il ramènera des influences latines (cumbia, mambo son, salsa, calypso, boogaloo).

Les mix de DJ Sir Sway sont un mélange d'électro et de musique traditionnelles du début du siècle.

Vincent Peirani à l'accordéon et Emile Parisien au saxophone soprano. Un duo atypique et créatif qui sublime les compositions de Sydney Bechet, Henry Lodge, Mills Irving, Duke Ellington et joue les morceaux originaux des deux complices.

Les deux trentenaires surdoués retrouvent l'esprit de l'époque où le jazz était une musique joueuse et populaire, à la fois virtuose et légère. Et ils vont plus loin, font valser Fellini et Tati, se prennent pour une fanfare au complet, inventent le free-musette, multiplient les acrobaties et les loopings, sans jamais touner en rond ni sombrer dans une froide abstraction.

Récompenses :

Tous deux élus artistes de l'année aux Victoires du Jazz (2014 & 2015) et lauréats du prix Django Reinhardt (2012 & 2013).